Philippe Ep 10 : Theo
PHILIPPE
EP 10 : THEO
Je prenais l'air penaud, c'est toujours mieux quand on va se faire engueuler. Il s'asseyait à son bureau et d'un geste me montrait le fauteuil. Il me regardait, je sentais son regard se poser sur moi. Je crois que c'est à ce moment que j'ai complètement débandé. Je regardais mes chaussures
'' Tien j'ai un lacet qui n'est pas bien fait, c'est vrai que je me suis dépêché pour sortir des douches
Il va être vexé si je refais mon lacet maintenant ? Vaut mieux, peut être, ne pas en rajouter
''.
Le Dir : M Brosso, vous ne pouvez pas vous imaginez à quel point je serais heureux de vous recevoir ici pour vous féliciter de votre travail
Mais ça n'arrive jamais !
Moi : Il ne faut pas désespérer Monsieur le directeur, on ne sais jamais ! Un jour peut être
Le Dir : Ça se produisait régulièrement avec votre père vous savez !
Moi : Le fayot ! ( tout bas, dans ma barbe comme on dit )
Le Dir : Pardon , vous avez dit
Moi : Moi, non, rien !
Le Dir : Mais si vous avez dit quelque chose !
Moi : Je l'ai pas dit fort alors, moi j'ai rien entendu !
Je l'entendais soupirer longuement, je relevais un il et un sourcil, il levait les yeux au ciel en même temps qu'il soupirait.
Le Dir : Regardez moi quand je vous parle s'il vous plaît.
Je relevais la tête en essayant de garder un air idiot ! Ce qui n'est pas facile vu que je suis plutôt du genre futé !
Le Dir : C'est la deuxième fois qu'on se voit ici cette semaine
Moi : Mais nous sommes déjà mercredi Monsieur le Directeur !
Le Dir : Monsieur Brosso, vous être un garçon adorable, tout le monde apprécie votre bonne humeur, vous êtes un garçon très sympathique et
Moi : Et vous n'êtes pas content de me voir pour autant ?
A nouveau, grand soupir, il levait les yeux au plafond et se massait les tempes
Le Dir : Monsieur Brosso, je n'ai plus le choix je suis obligé d'en référer à votre père !
Moi : Non ! Faites pas ça ! Faites pas ça ! Il va me ! C'est trop cruel ! Je suis trop jeune pour mourir !
Le Dir : Allons ne dramatisez pas, votre père n'ira pas jusque là !
Moi : Si vous voulez on peut lui téléphoner.
Le Dir : C'est ce que je vais être obligé de faire !
Moi : Attendez Msieu le Dir.. il va vous répondre ! ( là je paniquais un peu )
Le Dir : Vous me l'avez déjà faite celle là, et pas plus tard qu'hier !
Moi : Je m'étais trompé de numéro !
Le Dir : Vous comprendrez donc pourquoi je préfère composer le numéro moi- même sur mon propre téléphone !
Moi : Bein
Le Dir : Rangez votre téléphone jeune homme, Nadine va vous donner un billet de retour !
Je me dirigeais vers la porte du bureau ! Là j'en menais pas large !
Le Dir : Monsieur Brosso ! ( je me retournais ) Si je ne vous revois pas de la semaine, je classe l'affaire !
Moi : Merci Monsieur le Directeur , je vous aime !
Le Dir : N'en faites pas trop Monsieur Brosso, je vous en prie, n'en faites pas trop !
Au moment ou je refermais la porte je l'entendais soupirer très fort !
Nadine : Ça c'est bien passé ?
Moi : Super seulement trois gros soupirs.
Nadine : Et tu as été condamné à
Moi : A-a-a-vec sursis !
Je retrouvais mon cours, et l'année scolaire reprenais son rythme habituel. Il m'aimaient bien mes camarades de classe, normal je les faisais rigoler. Pour ce qui était de mes profs, c'était un peu différent
Je crois que je les agaçais
N'allez pas vous imaginer que mon statut d'héritier et de futur maître du monde les impressionnait, non, certainement pas . Ici tous les élèves était issus d'une catégorie sociale très favorisée !
''Mon papy roule en rolls !''. C'est pas un argument ici, essayez de sortir ça et on va vous rire au nez et vous répondre : '' Et bien mon père lui il se déplace en hélicoptère ! ''
Et paf ! Ici, la fortune n'impressionne personne !
Moi ce qui m'impressionne c'est quand je prend la douche, c'est les grosses bittes ! Bon, ça va, j'entends vos commentaires, vous allez me dire que que je ne pense qu'à la queue des autres
Mais ce n'est pas vrai ça je suis parfaitement capable de me focaliser sur ma propre bite
Et sur ce que je peux en faire avec le cul des autres !
Bon d'accord je tourne un peu en rond là ! Mais c'est vrai quoi, ça fait maintenant presque un moi que j'ai enculé Théo, enfin presque
Et depuis
Rien
Bon je me branle quatre fois par jour, quelquefois cinq, normal quoi ! J'ai goûté autre chose et c'est ce que je veux maintenant moi !
Le week-end j'avais le droit de sortir dans la journée, je devais être rentré pour les repas, il y en a un qui n'a pas respecté cette loi une fois
Pas de détails, la police était avertie, il est revenu entre deux gendarmes, viré deux semaines, et interdit de sortie pendant le reste de l'année.
Je sortais donc, tous les samedis et dimanches avec ma moto. Le directeur me faisait de larges sourires quand il me croisait dans les couloirs, vous vous rendez compte que ça faisait deux semaines que je n'avais pas été envoyé dans son bureau, ma moyenne d'engueulade baissait mais j'avais évité le pire. Avec mon père je veux dire !
La fin de l'année scolaire approchait et il faisait beau, c'était un plaisir que de rouler dans la campagne et aussi sur le bord de la mer. Il y avait plusieurs plages à proximité. L'eau était un peu froide mais on pouvait se baigner si on n'était pas frileux, et moi je suis toujours en chaleur ! Je ne m'en privais pas.
Vous avez vu comment elle est votre bite quand vous sortez de l'eau froide ( enfin pour ceux qui en ont une, les filles ça ne les concerne pas ). Elle est toute petite, moi j'aurais pu sans problème enfiler une PK taille 2
Mais pourquoi je dis ça moi ? Il est hors de question que je porte un truc comme ça moi !
J'avais quitté la table du réfectoire dès que possible et je me présentais au secrétariat pour mon billet de sortie, il n'était pas encore ouvert. Quelques minutes plus tard Nadine arrivait ( c'est la secrétaire, elle est adorable ) elle était de permanence ce dimanche.
Nadine : On est dimanche ne me dis pas que
Moi : Mais non Nadine, tu as vu je fais un effort, ça va faire trois semaines qu'on ne s'est pas vu.
Nadine : J'ai remarqué, ce n'est pas plus mal il faut dire ! Tu veux ton billet de sortie ?
Je faisais oui de la tête, elle me le donnait, j'allais vers le garage et sur le chemin je retrouvais un vieille connaissance
Moi : Théo, ça va toi ? Mais ça fait un moment qu'on ne s'est pas vu ?
Théo : J'avais un peu mal ou tu sais !
Moi : Quelqu'un t'a fait mal mon petit bonhomme ?
Théo : Pauv con ! Tu vas te promener ?
Moi : Ouai, j'ai une moto et toi tu fais quoi ?
Théo : Tu en as de la chance, moi j'avais pas le droit de sortir, mes résultats s'améliorent et j'ai une autorisation de sortie mais je suis à pied et je sais pas quoi faire !
Moi : Si tu veux, j'ai deux casques
Si tu n'as pas peur de te faire mal ?
Théo : Pauv con !
Bon d'accord, il m'avait traité de '' Pauv Con'' deux fois de suite mais ça ne l'empêchait pas de mettre le casque et de s'installer derrière moi sur la moto ! Et puis
C'était affectueux ! On roulait bien, on s'arrêtait dans un petit bar à l'entrée de la forêt, je lui payais un verre.
Ce jour là il faisait chaud, pas doux mais chaud ! On décidait d'aller faire un tour à la plage. Rien qu'à cette idée je bandais. Ça ne se voyait pas sous mon pantalon de cuir. Mais il ne m'en fallait pas plus pour bander. Quand je vous dit qu'il ne m'en faut pas beaucoup à moi. Une pensée érotique et hop, je bande ! Bein oui une pensée érotique, je n'avais pas de maillot de bain et je me voyais déjà sur la plage, à poil. Je m'imaginais dans ces petites criques que je connais bien. Il n'y a jamais personne et on peut se baigner à poil
J'y emmenais Théo. Il fallait marcher quelques kilomètres mais la campagne était magnifique en cette saison. On s'installait au soleil. Sans plus attendre je retirais mes vêtements, il m'a déjà vu à poil, et un peu plus même
Il me regardait faire.
Moi : Tu reste habillé ? Il fait beau !
Théo : Oui j'ai un peu peur que tu me sautes dessus !
Moi : Mais c'est pas mon genre je suis très prude tu sais !
Théo : Prude, tu sais ce que ça veut dire au moins ? Ça fait pas cinq minutes qu'on est là et tu es déjà à poil vautré sur le sable
Et en plus tu bandes !
Moi : Ça t'intéresses ?
Théo : Pauv con !
Moi : Mais arrête de faire la gueule et viens donc t'installer à côté de moi.
Théo : Je sais ou tu veux en venir ! ( il venait s'installer tout de même )
Moi : Ça te fais pas envie, tu n'as pas aimé la dernière fois ?
Théo : Pauv con !
Moi : Bon ça va, j'ai compris
Tu es ronchon parce que tu as mal dormi ou un truc comme ça !
Théo : Mais tu te moques de moi ?
Moi : Non.
Théo : Tu m'as fait super mal l'autre jour !
Moi : La première fois ça fait toujours un peu mal, tu peux me croire
Théo : Un peu, il dit !
Moi : Ensuite ça fait moins mal et à la fin, avec un peu d'entraînement, ça ne fait plus mal du tout
Au contraire c'est super bon !
J'étais allongé sur le dos, la queue bien en forme, bien plaquée sur mon ventre.
Je me retournais et je voyais Théo arriver vers moi, il était à poil, superbe sous ce soleil, son dispositif de chasteté ne se balançait pas mais se relevait bien fièrement, je sentais un pression plus forte dans ma queue. Pour lui aussi la pression était maximum !
On plongeait, l'eau était froide, on revenait s'assoir, on se sentait ravigotés. On retournait dans l'eau un bon moment, on nageait, on jouaient à pousser l'autre dans l'eau, à l'arroser. Je plongeais et j'attrapais ses jambes, je le faisais tomber dans l'eau. Bref, on rigolait bien !
On se frictionnait en sortant de l'eau pour se sécher puis on se frictionnait l'un l'autre et là je me disais : '' Ça se précise cette histoire ''. Dans son dos je lui frottait les épaules puis lui donnait un baiser rapide en haut du dos. Il frissonnait, se retournait, il avait le sourire
Moi : Câlin ?
Théo : Pauv con !
S'il râlait maintenant c'était pour la forme, il n'était plus en colère et me donnait un baiser sur les lèvres en me prenant dans ses bras. Nous étions rapidement enlacés au milieu de cette petite plage, parfaitement dissimulés par les rochers ! Nos étreintes devenaient rapidement plus intense, plus chaudes, on n'avait plus froid du tout.
Le soleil nous avait séché, et je profitais de sa peau douce, tellement douce. Il glissait ses deux mains entre mes fesses, un peu plus bas que mon anus et me soulevait contre lui. Je relevais mes jambes et les passais dans son dos. Je me repliais contre lui tout en le tenant bien fermement contre moi. Je le couvrais de baisers partout ou je pouvais poser ma bouche.
Théo : La prochaine fois, c'est moi qui t'encule !
Moi : J'aimerais bien tu sais !
Théo : C'est vrai, tu dis pas ça pour me faire plaisir ?
Moi : Non, c'est vrai je te jure.
Théo : Vrai ?
Moi : Aussi vrai que là j'aimerais bien t'enculer !
Théo : Pauv con !
Je m'allongeais sur le sable, il accompagnait mon mouvement et s'allongeait sur moi, me couvrait de baiser puis descendais la tête sur mon ventre puis plus bas encore. Je sentais ses baisers sur mon torse, mes tétons, le bas de mes côtes, mon nombril
Puis je sentais ses lèvres se poser sur l'extrémité de mon pénis. Je le laissais faire, j'écartais mes bras en croix et regardais le ciel. L'air était un peu frais mais le soleil était déjà chaud. J'étais bien !
Nous restions ainsi, moi sans bougé, lui occupé à me faire plaisir pendant de longues, de très longues minutes. Quand ma queue s'enfonçait dans sa gorge, je sentais sa langue s'écraser contre mon gland, ces caresses là, à ce moment devenaient intenses, chaudes, douces mais intenses. Je frissonnais mais ce n'était pas le fond de l'air frais qui me faisait cet effet. Il faisait chaud.
Il me caressait l'intérieur des cuisses, puis les hanches, ses mains passaient sur mes fesses mais il n'essayait pas de me glisser un doigt dans le cul. J'aurais bien aimé moi mais il n'y pensait pas je suppose. Il me suçait les couilles, les prenait en entier dans la bouche
Ça fait bizarre, c'est pas vraiment désagréable mais ça fait bizarre. Je ne suis pas fan
Enfin peut être
Je sais pas
Pas sûr !
Il revenait à ma bite, et l'avalait presque en entier. Mais c'est qu'il s'en sort bien une fois qu'il est parti celui là ! Sa langue me suçait toute la longueur de ma queue avec douceur, je gémissais.
Moi : Je voudrais t'enculer !
Théo : Pauv con !
Mais c'est une idée fixe chez ce garçon j'ai l'impression ! Un peu plus tard il relevait la tête !
Théo : Tu vas encore me faire mal !
Moi : Oui mais j'ai comme l'impression que tu as aussi joui
Là il ne répondait pas.
Moi : En y allant tout doucement
Théo : Tout doucement alors
Je faisais le geste de me relever, de la main il me repoussait fermement.
Théo : Ne bouge pas toi !
Il menjambait, un pied de chaque côté des mes hanches, j'avais du gel lubrifiant dans ma poche, il me lubrifiait la queue ainsi que son cul. En faisant une grimace il se mettait en position, d'une main il relevait ma queue, mon cur battait fort. Pourvu qu'il encaisse
Moi je me détendais, je croisais les bras derrière la tête dans une position à la fois détendue et confortable
Je le laissais faire.
Je sentais l'ouverture de son cul, il était dur. Il tentait de s'enfoncer en appuyant contre ma queue. Ça résistait, il se relevait, soufflait fort et recommençait. Ça résistait toujours, mais je sentait son cul se dilater légèrement puis se contracter de nouveau. Il faisait des grimaces. J'avais l'impression qu'il avait du mal à respirer.
Moi : Ça va ?
Théo : Pauv con !
Je n'insistais pas, ça venait en tous cas, lui il insistait. Mon gland venait de rentrer en entier mais était ressorti aussi vite. Théo ne bougeait plus il semblait avoir mal, il reprenait son souffle, relevait la tête, me regardait puis forçait brusquement, ma queue entrait sur la moitié de sa longueur. Il poussait un cri, se retenait en s'appuyant contre mon ventre de la main. Il avait le souffle court, je l'encourageais
Moi : Vas y c'est bon !
Théo : Ta gueule !
Moi : Bon d'accord, j'insiste pas
Théo : Ça fait un mal de chien ton truc, il est trop gros
Moi : Désolé j'en ai pas d'autre sous la main.
Théo : Pauv con !
Je sentais son cul se contracter par secousses. Il rigolait le con
Moi : Ça ne te fait pas trop mal ?
Théo : Uniquement quand je rigole ! ( en faisant un grimace à faire peur )
Là c'est moi qui rigolait, il hurlait. C'était pas du chiqué ça lui faisait vraiment mal, il voulait se dégagé, son pied glissait et il s'empalait complètement sur ma queue, comme la dernière fois mais cette fois c'était pas ma faute ! Je l'entendais gémir comme s'il pleurait, son visage se tordait de douleur, il avait du mal à respirer, il semblait ne plus pouvoir bouger. Mais moi j'étais content !
Il restait un petit moment comme ça, il bougeait la bouche mais aucun son n'en sortait. Il essayait de se dégager mais n'y parvenait pas. Moi je laissai faire, je suis d'un naturel serviable et il m'a bien dit de ne pas bouger. Finalement il se penchait complètement sur moi et parvenait à se dégager. Il jutait, pas d'éjaculation juste un flot de sperme continu qui coulait de son dispositif de chasteté.
Moi : Tu veux que je t'aide ?
Théo : Ta gueule !
Mais c'est qu'il n'a pas beaucoup de vocabulaire quand il baise lui ! Il se relevait, s'écartait de moi il continuait à gémir et avait posé sa main sur son cul
Moi :
Bon j'allais dire quelque chose mais j'ai préféré me retenir. Je connais sa réponse ! Il allait se tremper dans l'eau, je me branlait. Je me branlais et au moment ou je jouissais je faisais beaucoup de bruit, il me regardait de loin. Un peu après il s'approchait de moi et regardait ma queue en faisant la gueule
Théo : Elle est trop grosse, ça fait mal !
Moi : Autant que la dernière fois ?
En dodelinant de la tête
Théo : Peut être pas, c'est vrai que là déjà, ça va mieux. La dernière fois je l'ai senti pendant plusieurs jours. Je te jure j'ai failli aller voir le médecin.
Moi : Tu recommenceras ?
Théo : Pauv con !
Je rigolais.
Théo : Mais c'est vrai quoi, elle est trop grosse ta queue, il faut vraiment s'y faire.
L'heure de rentrer avançait, on se préparait, on s'habillait puis on prenait la route vers le parking. Il faisait toujours la gueule, et de temps en temps passait sa main sur ses fesses.
Je ne traînais pas pour le retour, je ne connaissais que trop le risque
Nous arrivions donc largement à l'heure. Le temps de prendre une douche de dessalage. Je bandais encore, enfin de nouveau, je précise parce qu'entre temps j'avais débandé, mais dès que je me retrouvais à poil je remettais ça
Je profitais aussi du fait que j'étais seul pour me branler
Juste un tout petit peu
Juste pour le plaisir.
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